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Environnement

Baignade

Les bons gestes à la plage

Pour garder la plage et l’eau propres, adoptons les bons gestes !

 « Adoptons les bons gestes plage propre »

Biodegradabilite dechets dans sol

Bacs à marée

Des bacs à marée sont installés sur onze plages de Sainte-Marie de Ré : La Salée, Basse-Benaie, cale de Montamer, Pertuis, Rouine, Grenettes, épi Saint-Sauveur, la Maladrerie, Port Notre-Dame, Grand Prè et Anse Imbert.

Les bacs à marée permettent, avec l’aide de la participation volontaire citoyenne, de réduire l’impact des déchets et améliorer la qualité de la biodiversité sur notre littoral.

Les déchets marins acceptés : plastique, cordage, pneu, verres, chaussures, ferrailles.

Ne pas y déposer : déjections, animaux morts, produits toxiques

Les débris végétaux et les bois échoués ne doivent pas non plus être collectés. Ce ne sont pas des déchets. Ils constituent un habitat naturel, source de nombreux écosystèmes : la laisse de mer.

Cet habitat naturel est également une source d’abris et de ressources alimentaires pour de nombreux insectes, animaux et plantes tels que les Puces de mer ou encore le Cakile maritime.

Liens associés : https://bacamaree.fr

La garantie d'une eau propre

En tant que station de tourisme, Sainte-Marie de Ré est particulièrement sensible à la propreté de ses plages et à la qualité de ses eaux de baignade.

De fin juin à fin août, les quatre plages les plus fréquentées sont soumises à des contrôles et des analyses de qualité. En cas d’analyses non satisfaisantes, la plage est aussitôt fermée.

– Plage de Montamer, certifiée pour la saison 2022 :       BONNE

– Plage des Grenettes, certifiée pour la saison 2022 :      EXCELLENTE

– Plage de la Salée, certifiée pour la saison 2022 :          EXCELLENTE

– Plage de Basse Benaie, certifiée pour la saison 2022 :  EXCELLENTE

    

Des registres d’observation de la qualité des eaux de baignade sont à disposition du public :

– au bureau d’informations touristiques de Sainte-Marie de Ré,
– à l’ANCRE Maritaise,
– au poste de secours de Montamer,
– ainsi qu’à la mairie.

 Liens associés :

 https://baignades.sante.gouv.fr/baignades/homeMap.do# 

www.iledere.com

Carte interactive des plages

Surveillance de la plage de Montamer

La plage de Montamer est surveillée du vendredi 7 juillet au vendredi 1er septembre 2023.

 

À Sainte-Marie de Ré, la plage est accessible à tous ! Un Tiralo est mis à la disposition des personnes à mobilité réduite pour un accès facilité à la plage de Montamer et à la baignade.

Disponible, sur demande, à l’ANCRE Maritaise, aux jours et horaires d’ouverture. Merci de vous munir d’une pièce d’identité qui sera conservée le temps du prêt. 

La municipalité de Sainte-Marie de Ré ne pourra être tenue responsable de tout incident, lors du prêt.

Nettoyage sélectif des plages

En été, les plages de la commune bénéficient d’un nettoyage manuel sélectif avec Bénédicte et Jérôme, et leurs chevaux Corso du Palaiseau et Unesco des Sables. Du lundi 10 juillet au vendredi 1er septembre 2023.

N’hésitez pas à les rejoindre et à participer, vous aussi, au nettoyage des plages !

Contact : ANCRE Maritaise

Pêche

La pêche à pied, c’est du plaisir, mais également des règles à respecter pour préserver la biodiversité. La Communauté de Commune de l’Ile de Ré vous guide dans votre pratique grâce à « La boîte à outil du pécheur ».

https://cdciledere.fr/la-boite-a-outil-du-pecheur/

Sauvegarde et entretien des écluses à poissons de Sainte-Marie de Ré

Trois écluses à poissons sont situées à Sainte-Marie de Ré : la Jalousie, la Vieille Salée et La Jeune Salée. Témoins vivant du patrimoine rétais et maritais, elles sont entretenues par l’association « Les bâtisseurs de l’Estran », réunissant les pêcheurs de ces écluses.

Lien associé

Les Bâtisseurs de l’Estran 

Mouillage

La commune a confié la gestion de la zone de mouillages organisés à l’association des plaisanciers de l’anse Notre-Dame (A.P.L.A.N.D).

  • Surface de 3.6 ha, de forme pentagone,
  • Délimitée par 5 balises,
  • 25 postes de mouillages espacés de 35 mètres.
  • Situation géographique : côte sud-ouest de l’île de Ré, dans les limites administratives de la commune de Sainte-Marie de Ré. Le phare de Chauveau est à moins d’un mile nautique au Sud-Est. Le complexe hôtelier ATALANTE et le centre de thalassothérapie NEPTUNE sont au Nord-Ouest de la zone.
  • 6 mouillages réservés aux visiteurs,
  • Bateaux : inférieurs à 3 tonnes ; tirant d’eau ne dépassant pas à l’échouage 1 mètre ; longueur hors-tout inférieure à 8 mètres.
  • L’usage d’une annexe est indispensable,
  • Echouage à marée basse,
  • Aires de stationnement pour les véhicules et aménagements pour les annexes : gratuits et à proximité de la cale.

Comment louer un mouillage pour mon bateau ?

Dès votre demande de location, un manuel « Visiteurs » rédigé par l’association, vous sera télétransmis, pour vous permettre de connaître les informations nécessaires à la navigation sur le secteur, mises à l’eau, règlementation etc… 

Les bénévoles remercient les plaisanciers de signaler le choix de leur visite, une quinzaine de jours à l’avance sur internet : michel.gallot90@sfr.fr

Tarifs sur demande : michel.gallot90@sfr.fr ou en mairie

 > Zone de mouillage de l’Anse Notre-Dame :

 

Lien associé

Association des Plaisanciers de l’Anse Notre-Dame (A.P.L.A.N.D.)

Associations maritaises

Lutte contre les indésirables

Les chenilles processionnaires

Les chenilles processionnaires sont les larves de papillons appartenant à la famille des Notodontidae. Le papillon est la forme « adulte » de la chenille, il émerge de terre durant l’été entre juin et septembre selon le climat.

La femelle papillon recherche un pin (pin noir d’Autriche, laricio de Corse, Salzman, pin de Monterey, maritime, sylvestre et pin d’Alep) et dans une moindre mesure un cèdre pour y pondre ses œufs. Elles pondent de 80 à 300 œufs. Dès leur éclosion, les chenilles commencent à dévorer les aiguilles de pin.

De fin janvier à avril (suivant l’altitude et l’insolation), elles descendent de l’arbre menées par une chenille de tête, c’est la procession de nymphose. Elles sont à la recherchent du sol approprié pour s’enterrer. Cet état peut durer de quelques mois à cinq ans.

Tout au long de leur vie, elles resteront groupées, pour survivre. Aux premiers froids, le nid d’hiver, bourse de soie épaisse servant de véritable radiateur solaire est alors visible et devient le signe distinctif de leur présence.

Ces chenilles présentent un risque sanitaire pour les animaux et les hommes, en raison des soies urticantes qu’elles produisent lorsqu’elles subissent un stress. 

 

Comment lutter contre ces nuisibles ?

La Communauté de communes met en place plusieurs modes de régulation des populations de cette espèce. https://cdciledere.fr/chenilles-processionnaires-je-commande-un-dispositif-de-lutte/ 

 

Dispositif Quand le faire ?
L’écopiège

Ce dispositif est installé sur les arbres contaminés d’octobre à avril. Il piège les chenilles lorsqu’elles descendent de l’arbre, avant leur transformation en chrysalide.

 

Formulaire de demande : https://cdciledere.fr/app/uploads/2022/07/2022.07.19_Chenilles-processionnaires-du-pin_ECOPIEGES.pdf 

Octobre à avril
Le nichoir à mésanges

Friandes de chenilles, les mésanges participent naturellement à la lutte contre celles-ci.

 

Formulaire de demande : https://cdciledere.fr/app/uploads/2022/07/2022.07.19_Chenilles-processionnaires-du-pin_ECOPIEGES.pdf 

Toute l’année
L’échenillage

Destruction des nids de chenilles.

Septembre à avril
Le traitement microbiologique par pulvérisation

La pulvérisation du nid est faite depuis le sol, sans classement toxicologique et écotoxicologique.

Sans danger pour l’environnement, les animaux ou la santé humaine.

Ce produit détruit le système digestif des chenilles qui l’ingèrent en même temps que les aiguilles.

 

Formulaire de demande : https://cdciledere.fr/app/uploads/2022/07/2022.07.19_Chenilles-processionnaires-du-pin_TRAITEMENT-PULVERISATION.pdf 

Septembre

 

Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger le guide pratique réalisé par la Communauté de communes de l’Ile de Ré https://cdciledere.fr/chenilles-processionnaires-je-commande-un-dispositif-de-lutte/ 

Le frelon asiatique

Le frelon asiatique (Vespa velutina) est un frelon invasif d’origine asiatique dont la présence a été signalée pour la première fois dans le Lot-et-Garonne en 2006. Sa présence est désormais avérée dans près de 2/3 des départements mais il est plus particulièrement répandu dans le quart Sud-Ouest.

Comment détruire les nids ?

Le frelon asiatique construit un volumineux nid de papier mâché dans les hautes branches des grands arbres, en zone urbaine, agricole ou boisée. Parfois, le nid est installé dans des bâtiments ouverts (garage, appentis, sous une terrasse, …) ou plus rarement dans un trou de mur, dans un roncier ou dans le sol.

La colonie ne vit qu’un an. En automne les femelles reproductrices quittent le nid en compagnie des mâles pour s’accoupler ; elles sont les seules à hiverner tandis que les mâles, les dernières larves et les ouvrières meurent. Au printemps chaque reine fondatrice ébauche un nouveau nid.

En France, tous les observateurs s’accordent sur le fait que le frelon asiatique n’est pas agressif. Sa piqure, sauf pour les personnes allergiques, n’est pas plus dangereuse que celle d’une guêpe.

En revanche, le frelon asiatique est un redoutable prédateur pour les abeilles.

La Communauté de communes a mis en place un dispositif de lutte contre le frelon asiatique, en finançant la destruction des nids de frelons, du 1er mai au 31 décembre de chaque année.

Si vous constatez la présence d’un nid sur votre propriété :

  1. Contactez la mairie.
  2. Un rendez-vous, avec l’agent référent au sein de la commune, sera pris afin de confirmer la présence du nid de frelons et rédiger une attestation.
  3. La confirmation établie, la commune vous proposera une entreprise agrée pour réaliser l’opération de destruction,
  4. L’entreprise adresse sa facture à la Communauté de communes de l’île de Ré, accompagnée de l’attestation de la présence d’un nid de frelons asiatiques.

 

Lien associée

https://cdciledere.fr/lutter-contre-le-frelon-asiatique/

Les plantes invasives

Les plantes invasives, nombreuses dans l’île, sont difficiles, voire impossible, à éradiquer.

Elles ont un impact néfaste sur l’environnement et provoquent un appauvrissement du milieu naturel. Également responsables de la perte de la biodiversité et de l’altération du fonctionnement des écosystèmes, certaines présentent des risques sanitaires car toxiques et allergisantes.

Plantes invasives : de quoi parle-t-on ?

Une plante invasive est une espèce exotique envahissante, qui n’existait pas à l’état naturel sur notre territoire, introduites volontairement ou involontairement par l’homme.

Sur l’Ile de Ré, 6 espèces sont invasives : Le baccharis, la griffe de sorcière, le yucca, l’herbe de la pampa ; l’ailante glanduleux et le raisin d’Amérique, les plus problématiques (diaporama).

Comment limiter leur propagation ?

  • Ne pas déposer en milieu naturel vos résidus et tailles de jardin.
  • Ne pas tenter d’éliminer une espèce invasive (contacter les écogardes toujours à votre écoute au 05 46 09 68 65 et email : ecogardes@cc-iledere.fr).
  • Ne pas planter ces invasives bien évidemment.
  • Privilégier les plantes alternatives : lilas commun, ciste à feuilles de sauge, sauge arbustive, arbousier, ceanothe, photinia.

Enfin, n’hésitez pas à demander aux services techniques de la mairie le permis de végétaliser mis en place ces dernières années pour vous accompagner dans vos plantations extérieures devant vos habitations.

Lien associé : https://cdciledere.fr/app/uploads/2022/07/brochure_plantes-invasives.pdf 

 

Protéger la biodiversité

Le fauchage tardif

Les bords de route revêtent un intérêt écologique fort et jouent notamment un rôle très important de « corridors écologiques » dans la circulation des espèces végétales et animales. Ils abritent une faune et une flore variées, constituent le premier élément de paysage perceptible depuis la route et interviennent dans l’épuration des eaux ruisselant sur la chaussée.

Depuis 2019, la commune de Ste Marie de Ré s’est engagée dans une démarche de transition écologique, en pratiquant le fauchage tardif. 

Le fauchage tardif consiste à faucher l’herbe aux abords routiers selon des paramètres précisément déterminés.

Pratiquer le fauchage tardif, c’est agir pour la biodiversité en laissant à la nature le temps de développer des zones refuges pour les petits animaux et les insectes pollinisateurs. La survie de bien des espèces de plantes est également préservée.

Les plantes ont alors le temps de de croître, fleurir et fructifier. Il permet de mener à bien leur reproduction en favorisant leur cycle végétatif. La fauche tardive facilite également l’implantation de certaines plantes et garantit les niches écologiques.

 Les fleurs vont attirer une quantité impressionnante d’insectes butineurs à la recherche de pollen et de nectar.  Ils féconderont les fleurs qui produiront les graines utiles au renouvellement de l’espèce mais aussi pour toutes les espèces animales granivores.  

Ainsi, un bord de route en fauchage tardif offre bien plus de services à la nature qu’un bord de route fauché trop tôt ou trop souvent.

Le compostage

Compostez, c’est bon pour l’environnement

La nature a résolu le problème de ses déchets d’une manière très simple parce qu’elle pratique une économie cyclique : les déchets des uns servent de nourriture aux autres.

Le compostage consiste à reproduire ce qui se produit spontanément dans la nature. Sous l’action de micro-organismes (champignons microscopiques, bactéries…), la matière organique se dégrade lentement au fil des mois et se transforme en un produit comparable à l’humus : le compost.

Le compost est un terreau écologique d’excellente qualité issue de la décomposition biologique de matières organiques en présence d’air. Cet amendement a une forte teneur en éléments fertilisants.

Les intérêts du compostage :

  • Il favorise la croissance des végétaux et des racines
  • Il renouvelle l’humus du sol
  • Il améliore le rythme de diffusion des nutriments
  • Il améliore la porosité du sol
  • Il améliore la capacité de rétention d’eau
  • Il limite l’apparition de maladies

Compostez, c’est être responsable

Aujourd’hui une personne qui trie ses biodéchets peut réduire de 30% la quantité de ses OMR (Ordures Ménagères Résiduelles).

On donne du sens à la consommation, en permettant une fin de vie responsable et sans impact nocif. Cela permet une réelle prise de conscience autour de la fin de vie des déchets, de se responsabiliser face aux déchets que l’on produit en prenant en main leur transformation, et donc de créer un changement des pratiques, et une diminution de la quantité de déchets

En réduisant significativement les quantités de déchets ménagers par foyer, le compostage contribue à alléger ses poubelles 

La Communauté de communes de l’île de Ré met gratuitement à disposition des habitants un composteur de jardin, ainsi qu’un bio-seau. Pour récupérer le vôtre,

  1. imprimez et remplissez la convention de mise à disposition d’un composteur individuel,
  2. munissez-vous d’un justificatif de domicile,  
  3. rendez-vous au service gestion des déchets du lundi au vendredi de 9 h à 12 h. Un bio-seau (ou poubelle de cuisine) et un guide du compostage vous seront également remis. 

En savoir plus : https://cdciledere.fr/demander-un-composteur/ 

Sainte-Marie de Ré, ville refuge LPO

Depuis 2019, Ste Marie de Ré a signé une convention avec la LPO, qui a abouti à la création d’un refuge LPO sur le site du parc de Montamer.  La commune s’engage à :

  • Utiliser des techniques respectueuses de l’environnement et économes en énergie ;
  • Adopter les principes de gestion écologiques ;
  • Favoriser la biodiversité en aménageant

Le projet a pour but de préserver la biodiversité en préservant les espèces sauvages, et de favoriser la découverte de cet environnement.

Des panneaux pédagogiques ont été apposés à l’attention du public pour apprendre à reconnaître les différentes espèces. 

L’installation de nichoirs et d’hôtels à insectes vient également conforter ces efforts.

11 nichoirs ont été installés sur le site de Montamer, ainsi que :

  •  1 Gite pour chauve-souris,
  • 1 abri pour hérisson,
  • 3 hôtels à insectes sur pied.

En plus de panneaux pédagogiques, la Ville propose ponctuellement des animations à l’attention des scolaires et du grand public.

Liens associés

https://cdciledere.fr/les-especes-et-habitats-remarquables-de-notre-territoire/ 

poitou-charentes.lpo.fr

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